mardi 24 août 2010

into the wild


Notre énorme Ford nous paraît maintenant petit dans l'immensité québécoise ; il nous a fallu 2 heures trente pour traverser la réserve faunique de la Veyrenderie, nous nous sentons désormais très loin. On ne cherche plus les coins isolés, nous sommes seuls ou presque partout où nous allons. On s'habitue très vite à ne plus avoir de voisins, à écouter les bruits de la forêt du haut de notre perchoir quand il fait nuit noire.
Un cerf de Virginie est passé tout près de notre campement, son empreinte était encore fraîche à notre réveil.

1 commentaire:

  1. Vous êtes sûrs que ce n'est pas un signe cabalistique de sorcière gaspésienne ? Une empreinte de pince de crabe fossilisée ?
    Une vulgaire pince coupante ?
    Vous ne vous moqueriez pas de nous, là ?!

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Lac Témiscamingue

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