jeudi 31 mars 2011

Buenos Aires

Peninsula Valdes
Pingouin Magellan, le duvet de bébé est parti, il peut retourner dans le grand sud.

On coule des jours heureux à l'auberge de jeunesse de Tigre, à 45 minutes de la capitale. La fin de saison nous assure suffisamment de passage pour entretenir notre espagnol et de tranquillité aussi pour nous donner l'illusion d'être maître des lieux.
Notre passage à Buenos Aires a été un échec total ; pollution élevée, circulation dense et métro bondé nous ont donné l'envie de repartir aussitôt en Patagonie. On se donnera sans doute une seconde chance, la variété des quartiers et l'ambiance de la ville la rendent attachante.
Quelques jours dans une famille de San Isidro nous a montré comment dès le plus jeune âge on s'initie à la fête, pour atteindre à 20 ans un rythme annuel de deux nuits blanches par week-end. Une santé de cheval ces Argentins.

12 commentaires:

  1. Les Argentins, à ce qu'ils m'ont dit eux-mêmes, passent pour les Parisiens de l'Amérique latine, snobant tous leurs voisins (ils y sont les plus européens et appellent les Brésiliens, bien plus métisses, les "macaques") - ils se moquent même des Espagnols (tout en faisant la fête au même rythme infernal !), cf. Manolo, le fils de commerçant borné dans "Mafalda"...

    Intellos ravagés, ils sont en quête perpétuelle de leurs racines européennes (juives ashkénazes, polonaises, etc.) et Buenos Aires est, dit-on, la ville où il y a le plus de psychanalystes par habitant !
    Même quand ils dansent (le tango), ils méditent...

    D'où la blague :
    ¿Sabes como se suicida un argentino?
    - Se sube arriba de su ego, y luego se tira.

    RépondreSupprimer
  2. J'en ai une autre aussi, simpática:
    ¿ Cómo hacer un negocio muy buen?
    Compre un Argentino al precio que vale y véndalo al precio que piensa valer.
    Par contre, vous ne pourrez pas les leur raconter :-$

    RépondreSupprimer
  3. Otro chiste:

    Están hablando un mexicano y un argentino:
    – Che... ¿no sabés? Tengo un cuadro de Jesucristo atrás de mi cama y cuando hago el amor, Jesucristo aplaude.
    – Pues mira... yo tengo un cuadro de la última cena de los apóstoles.
    – Che... y no me digas que te aplauden.
    – Pues no... pero me hacen la ola.

    ¡olé!

    RépondreSupprimer
  4. mwahhhahah ! , Que buenos chistes ! Pobres Argentinos !
    Moi qui rêvait d'aller dans cette capitale... quoiqu'une psychanalyse argentine ça peut le faire !....à voir !
    Ici, on honore l'Amérique Latine avec le festival Colibris ce week end à Marseille, con un ambiente ""casi"" mejicana.. olé !

    RépondreSupprimer
  5. Donnez-nous un peu de temps on prépare la riposte !
    Et en bilingue, nous !

    RépondreSupprimer
  6. oui, oui, en bilingue !

    RépondreSupprimer
  7. En attendant :

    Un comentarista deportivo argentino dice:
    - Diego Armando Maradona es el MEJOR jugador de Fútbol en el Mundo y en Argentina uno de los Mejores.

    ¡ola!

    RépondreSupprimer
  8. oooh un pingouin!
    j'adore les pingouins!!
    Laure, tu connais les albums d'Oliver Jeffers? "Perdu retrouvé", "Pingouin vole", ils sont trop (tiens regarde cette image : http://www.oliverjeffers.com/shop/print03.html ). Plus largement, j'aime beaucoup ce que fait l'auteur-illustrateur Oliver Jeffers..

    bon voilà, c'était un message de la libraire jeunesse, on me refera pas, faut que je mette du livre jeunesse partout :-)

    continuez de nous enchanter...
    bises!

    RépondreSupprimer
  9. Gaëlle, Oliver J. est-ce que c'est aussi Boule de poils et le pingouin ?
    A bientôt sur la moquette du rayon... Bises.

    RépondreSupprimer
  10. Mpffffff, c'est ce qu'ils nous ont répondu. Belles lurettes que l'égo argentin est soi disant à plat. Et les femmes, toutes belles et sensuelles ici, pointent l'homme du doigt, c'est lui le responsable.
    On n'a rien trouvé, pas une blague contre le coq français (ils adorent la France) et pas une pour les défendre. En voici même une autre : "No descendemos de nuestros ancestros, descendemos de nuestros barcos." Nous ne descendons pas de nos ancêtres mais de nos bateaux, qui vient renforcer leur appartenance à l'Europe.

    Notre micro trottoir avec vos blagues restera une bonne tranche, merci.

    RépondreSupprimer
  11. Méfiez-vous, si vous les avez trouvés modestes, c'est pour ça :

    Cuando los argentinos tienen complejo de inferioridad, se sienten como el resto de los mortales.

    RépondreSupprimer

Lac Témiscamingue

Lac Témiscamingue